posté le 07-01-2015 à 17:34:59
Mercredi noir.
En ce moment précis, les mots sont inutiles.
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Charb.(47 ans).
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Cabu. (76 ans ?)
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Wolinski.(80 ans).
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Tignous. (47 ans).
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Bernard Maris, (68 ans).
brillant économiste, chroniqueur sur France Inter.
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Et hommage aux deux policiers morts en service
ainsi qu'aux autres victimes dont l'identité n'est pas encore révélée.
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Commentaires
Re Bonjour ma petite Seringa , je ne trouve pas de mots assez fort pour ces deuils ...Tristesse , chagrin et désolations .....Bise Lili
je suis comme toi en état de choc juste mes larmes comme compagnie
et j'entend qu'ils ont pris d'autres otages l'horreur....
Bonsoir Seringa, c'est terrible, même si on peut ne pas être d'accord, c'est intolérable ces actes de violence, de barbarerie, c'est une atteinte à la liberté de la presse, à la liberté d'expression...
Bises affectueuses, fanfan
bonjour ma belle Seringa,
j'ai mon ami Dani, artiste peintre, qui habite dans le 13e, qui connaissait très bien Cabu, il a travaillé à Charlie Hebdo. Il est effondré.
Moi, je suis toujours sous le choc. Ce soir, il y a un rassemblement place de la République. J'y vais.
Bon après-midi.
Bisou
Bonjour Seringa, merci à toi pour ce beau billet
Bonsoir Seringa,
C'est effroyable !
La liberté d'expression, quoi de plus chère, mais elle a un prix !
... celle d'être prise à parti par des personnes qui n'ont aucun scrupule à tuer !
J'espère que les auteurs seront vite appréhendés et traduits en justice !
Comme le disent les politiques, il faut rester unis.
A bientôt.
Gérard
Bonsoir Seringa,
pas de mots non plus je l'ai appris dans l'après midi en arrivant chez ma maman.
Bonsoir seringa,oui c'est affreux,pensée aux familles,quelle soufrance!
Quelle douleur !!!
silence juste des larmes
Ma plume refuse, mon encre est sèche.
Même avec toutes les larmes de la terre, qui aujourd’hui coulent en noir, je ne pourrai écrire, je ne pourrai décrire cette frontière que l’humanité repousse, et surtout imaginer ce qui se passe de l’autre côté.
De toute la création, l’homme est le seul à agir contre nature, il le montre chaque jour un peu plus.
Passée la colère, passés l’effroi et la tristesse, il ne faudra pas enterrer ce que nous ressentons pour transformer nos sentiments en conviction, celle de continuer d’avancer, de continuer, non pas à combattre des idées car la guerre doit cesser, mais à proposer une relation humaine digne et fraternelle.
Bonsoir ma chère Seringa,
J'ai appris la terrible nouvelle sur internet, c'est affreux et triste ! Je ne sais pas quoi dire...RIP à ces personnalités, qu'ils reposent en paix.
Je repasserais sur ton blog dans quelques jours.Je vais bien et Fernand aussi, chez nous averses et fraîcheur.
Gros bisous de nous deux chère amie.
Florence
Pas de mot......